Исполнитель: | COMPILATION PAILLARDES (Français) |
Пользователь: | Philippe Ame |
Длительность: | 130 секунд |
Начальная пауза: | 12 секунд |
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CHARLOTTE
Dans son boudoir la petite Charlotte,
Chaude du con faute d'avoir un vit,
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait étendue sur son lit.
Branle, branle, branle, Charlotte,
Branle, branle, ça fait du bien.
Branle, branle, branle, ma chère,
Branle, branle jusqu'à demain.
"Ah ! disait-elle, en ce siècle où nous sommes
Il faut savoir se passer de garçons,
Moi pour ma part, je me fous bien des hommes.
Avec ardeur, je me branle le con !"
Alors sa main n'étant plus paresseuse,
Allait venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite farceuse ;
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort !
Mais, ô malheur ! ô fatale disgrâce !
Dans son bonheur ell'fait un brusque saut,
Du contrecoup, la carotte se casse,
Et dans le con, il en reste un morceau !
Un médecin, praticien fort habile,
Fut appelé, qui lui fit bien du mal ;
Mais, par malheur, la carotte indocile
Ne put sortir du conduit vaginal.
Mesdemoisell's que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon ;
Ah'croyez-moi, laissez là la carotte,
Préférez-lui le vit d'un beau garçon !
Baise, baise, baise, Charlotte,
Baise, baise, ça fait du bien.
Baise, baise, baise, ma chère,
Baise, baise jusqu'à demain.
LA DIGUE DU CUL
La digue du cul en revenant de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu la digue la digue
De Nantes à Montaigu la digue du cul !
Refrain :
Lève la jambe, voilà qu’ça rentre
Lève la cuisse, la cuise, la cuisse
Voilà qu’ça glisse
Lève la jambe, voilà qu’ça rentre
Lève la cuisse, la cuise, la cuisse
Voilà qu’ça glisse
Oh ! Hisse
La digue du cul sur la route de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu la digue la digue
De Nantes à Montaigu la digue du cul !
La digue du cul je rencontre une belle(bis)
Qui dormait le cul nu la digue la digue
Qui dormait le cul nu la digue du cul !
La digue du cul je bande mon arbalète (bis)
Et lui fous droit dans l’cul la digue la digue
Et lui fous droit dans l’cul la digue du cul !
La digue du cul la belle se réveille (bis)
Et s’dit j’ai l’diable au cul la digue la digue
Et s’dit j’ai l’diable au cul la digue du cul !
La digue du cul non ce n’est pas le diable (bis)
Mais un beau dard poilu la digue la digue
Mais un beau dard poilu la digue du cul !
La digue du cul si ce n’est pas le diable (bis)
Refous-moi le dans l’cul la digue la digue
Refous-moi le dans l’cul la digue du cul !
La digue du cul s’il y’est bien qu’il y reste (bis)
Et qu’il n’en sorte plus la digue la digue
Et qu’il n’en sorte plus la digue du cul !
DUDULE
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement;
Ils étaient heureux
Et du soir au matin
Ils allaient au turbin,
Le coeur plein d'entrain.
A l'atelier, les copines lui disaient:
"Pourquoi tu l'aimes tant, ton Dudule ?
Il est pas beau, il est mal fait";
Mais elle, tendrement, répondait:
"Z' en faites pas, les amies,
Moi c' que j'aime en lui."
Refrain
"C'est la grosse bite à Dudule,
J' la prends, j' la suce, elle m'encule,
Ah ! que c'est bon que c'est chaud, que c'est rond
Quand il m' la cal' dans l'oignon
C'est pas un' bite ordinaire
Quand il m' la fout dans le derrière,
De foutre et de merde elle est toute remplie
Des couilles jusqu'au nombril,
A Dudu-ule"
Ça devait arriver
Ils prenaient tant leur pied,
Qu'ils se sont mariés
D'abord ça tourna rond
Après c'était moins bon,
Il lui mit des gnons.
A l'atelier, les copines lui disaient :
Pourquoi tu l'tues pas, ton Dudule ?
Il t'a battue, il t'a cirée".
Mais elle, tendrement répondait:
"Z' en faites pas, les amies,
Moi c' que j'aime en lui."
Refrain
J'étais seule un beau soir,
J'avais perdu l'espoir,
Je broyais du noir;
Mais voilà que l'on sonne,
Je n'attendais personne,
Je reprends espoir
Mon petit coeur se mit à faire boum-boum
Si c'était là mon Dudule ?
L'était pas beau, l'était mal fait
Mais moi, tendrement, je l'aimais
J'ouvr' la porte, j' tends les bras,
Et qu'est-ce que je vois ?
Refrain
JEAN-GILLES
Beau-père, mon beau-père,
Je viens me plaindre à vous. (bis)
De quoi vous plaignez-vous
Jean-Gilles, mon gendre ?
De quoi vous plaignez-vous,
Ma fille est tout à vous.
Oui , mais que faut-il faire
Quand nous somm's entre nous ?
Que ne la p'lotez-vous...
Oui, mais si je la p'lote
Ses seins deviendront mous.
Que ne la branlez-vous...
Oui, mais si je la branle
On se foutra de nous.
Que ne la gnougnotez-vous...
Oui, mais si j'la gnougnote
Ca laisse un mauvais goût.
Que ne la baisez-vous...
Oui, mais si je la baise
Des enfants ell'me fout.
Que ne l'enculez-vous...
Oui, mais si je l'encule
Elle chiera partout.
C'est vous qui m'fait's chier,
Jean-Gilles, mon gendre,
C'est vous qui m'fait's chier,
Zut, merde et branlez-vous.
STANCES A SOPHIE
Tu m'demand'tes lettr's, ta photographie
Ton épong'à cul, ton bidet d'métal
Je m'en fous pas mal, ingrate Sophie
Et j'te renvoie l'tout par colis postal.
Sophie que j'aimais tant
J't'emmerde (bis)
Sophie que j'aimais tant
J't'emmerde à présent !
Tu veux fair'la peau, un métier d'grenouille
Et me remplacer par d'autres amants,
Mais vois-tu, j'm'en fous, comm'd'la peau d'mes couilles
Car tu pues du bec, et t'as l'con trop grand.
Je t'ai rencontrée un soir dans la rue,
Où tu dégueulais tripes et boyaux,
Ah ! si j'avais su qu'tu n'étais qu'un'grue,
J't'aurais balancée par l'trou des gogu'nots.
Mais j't'ai ramassée, Dieu que j'étais bête !
Car le lendemain, je m'suis aperçu,
Qu'j'avais des morpions des pieds à la tête,
Des poils du nombril jusqu'au trou du cul !
Puis le lendemain, t'avais tes affaires,
Le sang inondait la chambre à coucher,
Et j'ai consenti, pour te satisfaire,
A te sucer l'con pour mieux le sécher.
En ai-je bouffé de tes pertes blanches,
Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu'une planche,
Et je m'esquintais sans rien fair'du tout !
Et puis tu avais des passions honteuses,
J'en rougis encor, rien que d'y songer,
Et pour apaiser ta chair luxurieuse,
A tous tes capric's m'a fallu céder.
N'as-tu point voulu que ma langu'se perde,
Dans les plis profonds du trou de ton cul,
Je l'ai retirée toute plein'de merde,
J'en ai dégueulé, tu n'en as rien su.
TROIS ORFEVRES
Trois orfèvres, à la Saint Eloi
S'en allèr'nt dîner chez un autre orfèvre ;
Trois orfèvres, à la Saint Eloi
S'en allèr'nt dîner chez un autr'bourgeois
Ils ont baisé toute la famille :
La mère aux tétons, le père au cul, la fille au con.
Relevez, belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie les fesses,
Relevez, belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie le con !
La servante qui avait tout vu,
Leur dit : "Foutez-moi votre pine aux fesses" ;
La servante qui avait tout vu,
Leur dit : "Foutez-moi votre pine dans l'cul".
Ils l'ont baisée debout sur un'chaise,
La chaise a cassé, ils sont tombés sans débander.
Les orfèvres, non contents de ça
Montèr'nt sur le toit pour baiser Minette :
Les orfèvres, non contents de ça,
Montèr'nt sur le toit, pour baiser le chat :
" Chat, petit chat, chat, tu m'égratignes,
Petit polisson, tu m'égratignes les roustons !"
Les orfèvres, chez le pâtissier
Entrèr'nt pour manger quelques friandises ;
Les orfèvres, chez le pâtissier,
Par les p'tits mitrons se fir'nt enculer.
Puis retirant leurs pin'plein's de merde
Ils ont sucé ça en guis'd'éclairs au chocolat.
Les orfèvres, chez le pèr'Balzar,
S'sont foutus des d'mis à travers la gueule ;
Les orfèvres, chez le pèr'Balzar,
Pour mieux pisser, retirèr'nt leur falzar.
Le pèr'Balzar, voyant leurs bit's immond's,
S'écria : " Je vais faire un'salad'de cervelas "
Les orfèvres, pour voir les rastas,
S'en fur'nt chez Vachett', café des p'tit's vaches ;
Les orfèvres, pour voir les rastas,
S'en fur'nt chez Vachett', café d'ces gens là.
Très excités par un gros Bulgare
Pour voir son anus ils ont mis c't enculé à nu.
Les orfèvres, au son du canon,
Se retrouveront tous à la frontière ;
Les orfèvres, au son du canon,
En guis'de boulets, lanc'ront des étrons.
Bandant tous ainsi que des carmes,
A grands coups de vits repousseront les ennemis
L'PERE DUPANLOUP
L'Père Dupanloup dans l'utérus, (bis)
Etait déjà si plein d'astuces (bis)
Que dans le ventre de sa mère
Il suçait la pine de son père.
Refrain :
Ah ! Ah ! Ah ! oui vraiment,
L'Père Dupanloup est dégoutant.
L'Père Dupanloup monte en ballon, (bis)
Mais il avait l'système si long (bis)
Qu'à trois cents mètres dans l'atmosphère
Ses couilles trainaient encore par terre.
Refrain
L'Père Dupanloup monte en bateau, (bis)
La pine en l'air, les couilles sous l'eau, (bis)
Les p'tits poissons, les grosses grenouilles
Lui tripotaient la peau des couilles.
Refrain
L'Père Dupanloup monte à vélo, (bis)
Mais il avait l'système si gros (bis)
Qu'en pédalant à perdre haleine
La peau d'ses couilles s'prit dans sa chaîne.
Refrain
L'Père Dupanloup, en chemin d'fer, (bis)
Désira mettre ses couilles à l'air. (bis)
Passant sa pine par la portière
Il creva l'oeil du garde-barrière.
Refrain
L'Père Dupanloup, à la cuisine, (bis)
Battait les oeufs avec sa pine. (bis)
Cochon, lui dit la cuisinière,
Fous-la-moi plutôt dans l'derrière.
Refrain
L'Père Dupanloup, l'quatorze juillet, (bis)
Alla s'prom'ner à dos d'mulet. (bis)
Pour que la fête soit complête
Il encula la pauvre bête.
Refrain
L'Père Dupanloup, à l'Opéra (bis)
Se conduisit comme un goujat. (bis)
Avec la peau de ses roupettes,
Il boucha l'trou des clarinettes.
Refrain
L'Père Dupanloup, à l'Odéon, (bis)
Se conduisit comme un cochon. (bis)
Au troisième acte, dans la coulisse,
Il enculait l'pompier d'service.
Refrain
L'Père Dupanloup à Saint Malo, (bis)
Confesse les femmes dans un tonneau. (bis)
Il passa sa pine par la bonde
Et dit : - Voilà l'sauveur du monde.
Refrain
L'Père Dupanloup, au Vatican, (bis)
S'conduisit comme un dégoutant. (bis)
Derrière la statue d'Esculape,
Il essaya d'enculer l'Pape.
Refrain
L'Père Dupanloup, en Amérique, (bis)
S'en va explorer le Mexique. (bis)
Lançant sa pine comme un lasso,
Il attrape les ch'vaux au lasso.
Refrain
L'Père Dupanloup, à Zanzibar, (bis)
Voulait montrer tout son bazar. (bis)
Mais empêché par une patrouille
Ne put montrer qu'une de ses couilles.
Refrain
Au passage d'la Bérézina, (bis)
L'Père Dupanloup, se trouvait là. (bis)
Il mit sa pine sur la rivière,
Pour faire passer l'armée entière.
Refrain
A la prise de la smalah, (bis)
L'Père Dupanloup, il était là. (bis)
On l'chercha d'vant et puis derrière,
Il enculait les dromadaires.
Refrain
L'Père Dupanloup, à l'Institut, (bis)
Ne voulait voir que des culs nus. (bis)
Ne respectant aucune barrière,
Il enculait tous ses confrères.
Refrain
L'Père Dupanloup, devenu vieux, (bis)
Ne bandait plus qu'un jour sur deux. (bis)
S'arrachant la pine avec rage,
Il s'en fit une canne de voyage.
Refrain
L'Père Dupanloup, dans son cercueil, (bis)
Bandait encore comme un chevreuil. (bis)
Avec sa pine en arc de cercle,
Il essaya d'soulever l'couvercle.
Les filles de Camaret
Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vît
Qu'un cierge. (ter)
Fillette de Camaret, où est ton pucelage ? (bis)
Il s'en allé sur l'eau
A la queue d’un matelot
Il nage. (ter)
Mon mari s'en est allé à la pêche en Espagne. (bis)
Il m'a laissé sans le sou
Mais avec mon petit trou
J'en gagne. (ter)
Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du cul nous prend,
Tout bouge. (ter)
Mon mari, que fais-tu là ? Tu me perces la cuisse. (bis)
Faut-il donc que tu soyes saoul
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse ! (ter)
Le maire de Camaret vient d'acheter un âne (bis)
Un âne républicain
Pour baiser toutes les putains
D'Bretagne. (ter)
Une simple supposition que tu serais ma tante, (bis)
Je te ferais le présent
De l'andouille qui me pend
Z'au ventre. (ter)
Si les filles de Camaret s'en vont à la prière, (bis)
C'n'est pas pour prier l'Seigneur,
Mais pour branler le prieur
Qui bande. (ter)